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Design Game Global

Dans l’ensemble nommé D2G / Design Game Global, le jeu vidéo (ou un film cinématographique, une série) englobe l’architecture, le cinéma, la peinture et tous les autres arts (visuels, plastiques, etc.). Véritable hypothèse de travail, cette déclaration d’intention pose le problème suivant :
Est-il possible d’envisager le jeu vidéo comme notre ultime horizon ?
A l’image de Kevin Flynn, héros des films TRON 1 & 2, notre avenir sera-t-il de vivre dans le jeu et non devant ?

Nous n’en sommes pas encore arrivés à ce stade, mais la littérature de l’imaginaire offre de nombreux scénarios en la matière.

Si la maison demeure le lieu premier de l’architecture ;

Si la salle de cinéma prolonge l’existence du cinématograhe ;

Si l’image habite l’art depuis son apparition ;

Alors le jeu vidéo indexe, mixe cet ensemble et matérialise un entre-deux - entre Image-Habitée et Image-Lieu -, une Réelle-Fiction où l’interface entre le corps et le numérique trouve tout son (ses) sens.

L’Atelier D2G / Design Game Global questionne la place réservée à l’architecture contemporaine et prospective dans les jeux vidéo. Il travaille son extension dans l’espace entourant le(s) joueur(s)-visiteur(s) et son expansion aux différentes représentations numériques.

L’objectif est de réfléchir aux trois interfaces en jeu :

L’interface homme-écran (peinture, cinéma, vidéo, jeu vidéoludique, etc.), 

L’interface homme-dispositif de diffusion (installation, architecture, scénographie, etc.), 

L’interface homme-outil de navigation (les yeux, les mains, les objets techniques, etc.). 

Par-delà le jeu vidéo, le film, la série, etc., l’objectif tient dans l’invention d’un espace construit - un entre-deux - (une installation-architecture), où réalité physique, réalité augmentée et réalité virtuelle cohabitent, grâce à la création d’un récit immersif.